A la Berlinale, “Totem”, la película grisante de Lila Avilés qui bouscule la compétition
Lila Avilés parmi les Portraits de stars affichés dans le hall du Berlinale Palast, à Berlin: c’est celle qui sourit le plus, sa salle qui sourit le plus, a main retenant les mèches de cheveux bruns qui ne restent jamais in place. Née en 1982, en México, la realisatrice est encore peu connue: son premier long-term, no camarista (2019), inspirado en el diario de Sophie Calle, botella (Ed. de l’Etoile, 1984), où l’artiste tenait le récit de son embauche comme femme de chambre dans un palace de Venise, lui avait tout de même valu quelques artículos élogieux et une belle tournée dans les lesivals.
pelicula segundo hijo, tótemselección en competición en la Berlinale, la propulse sur le devant de la scène, aux côtés de grands noms qui concourent pour l’Ours d’or, Christian Petzold (un incendio), Philip Jarrell (El gran carro), Ángela Chanelic (música), Makoto Shinkai (Suzume) … «Je suis l’outsider. Je ne viens pas d’une famille d’artistes. J’ai grandi à Mexico, je n’ai pas fait d’études de cinéma. J’ai commencé à travailler comme actrice, j’ai fait du théâtre, j’ai eu un enfant assez tôt. J’ai fait plein de métiers différents sur le plateau, assiste realisatrice, les costumes, la production… Puis j’ai fait une rencontre très importante avec la scenariste Beatriz Novaro, pendant un atelier »Y Enumère-t-elle, avant-garde s’excuser de “parler beau cupé”. Le débit Rapide, Elle répond parfois aux questiones d’un ” Si si SI SI SI… “.
Cine México, Danua, et French, tótem un entusiasta les Festivaliers – des negociations sont en cours pour la distribución en Francia. La singularité du projet et la somme d’énements tragi-comiques qui éclatent as des mini feux d’artifice nous mettent dans un état de griserie. Una sensación de que no tienes suficiente tiempo. tony erdmann, de Maren Ade, en competición en Cannes en 2016, même si les deux œuvres n’ont pas grand-selected à voir. Dans une maison, à Mexico, le temps d’une journalée, des femmes et une petite fille, Sol (Naima Senties, personnage manager, formidable jeune actrice), s’affairent à préparer un anniversaire un peu Partulier: celui du père de Sol , trentenaire atteint d’un cancer qui ne lui laisse plus guère de force.
incluso montaje
Cette fiction crue et impressionniste documente, du point de l’enfant, les minutes “invisibles” qui précèdent la fête. tótem est une ruche dont les abeilles auraient un peu perdu la tête, comme si leur rituel avait été bousculé: s’agit-il de célébrer la vie? sin muerte? Un peu les deux, et c’est ce qui rend le film barroque et joyeux. Lila Avilés viste un Retrato de grupo vacilante, une Constellation familiale que tangue mais résiste, tel un mobile suspendu. Filmé la plupart du temps camera à l’épaule, le film problem son équilibre dans un subtil montage butinant une multitud de micro-événements, faisant apparaître l’humanité des personnages. Dans les coulisses, semi-mutique, Sol se révélera le moment venu un comic clown.
39,5% del residuo. La suite está reservada para abonnés.
“Food ninja. Freelance fanático de la cultura pop. Wannabe zombie maven. Aficionado a Twitter”.